
Mélissa Proulx est une journaliste, chroniqueuse et rédactrice. Elle se consacre avec passion et créativité à l’élaboration de contenus journalistiques riches et variés depuis 2002.
Bachelière en lettres françaises de l’Université d’Ottawa et diplômée en journalisme, Mélissa Proulx avait 21 ans lorsqu’on lui a confié les rênes de l’hebdomadaire culturel Voir Gatineau-Ottawa, une édition régionale qu’elle a dirigé pendant huit ans. Sa route l’a ensuite ramenée vers sa région où elle a été chef de la section Art de vivre du Voir Montréal puis comme rédactrice en chef adjointe du magazine Enfants Québec.
MÉLISSA PROULX
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Lorsque Nancy Raymond a fait l’acquisition de Steamatic Canada, le couple de franchisés qui était sous l’ancienne bannière de la franchiseuse s’est retrouvé devant un choix décisif: conserver leur franchise ou suivre Nancy Raymond dans sa nouvelle aventure. «Seulement quelques bureaux ont suivi, mais on avait confiance en elle, raconte Éric Filiatrault, PDG de Steamatic Vaudreuil-Salaberry. On l’avait vu à l’oeuvre pendant deux ans, on connaissait sa vision, ses ambitions. La discussion entre nous n’a pas été longue: c’était Nancy du début à la fin. On voulait aller loin avec elle!»
Le couple a fait ce saut dans le vide sans même savoir quel serait le nouveau contrat.
«On a connu des premiers mois difficiles, convient M. Filiatrault. Quitter une bannière pour une autre, ça veut dire que tes contrats tombent à zéro. C’est une perte de repères. Durant la transition, on a vécu trois mois plus difficiles où l’on avait peu de dossiers.»
Malgré tout, le couple n’a jamais douté de sa décision. «C’est vraiment Nancy comme personne qui nous a insufflé toute cette détermination, concède M. Filiatrault. On aime sa vision. On sent qu’elle veut aller au bout de ses rêves.»
«Quand l’annonce a été faite et qu’on a su que toute l’équipe du siège social la suivait dans l’aventure, ça nous a mis la puce à l’oreille, renchérit Carine Leroux, qui se spécialise en finances et en administration. J’ai été rassurée de constater que tout le monde restait uni derrière elle».
La relation de confiance entre un franchiseur et son franchisé est à la base de cette histoire à succès. «Avec le recul, on constate que c’est la meilleure décision d’affaires que nous avons pris jusqu’à maintenant, poursuit Mme Leroux. Nous avons bien fait de suivre notre instinct. Aujourd’hui, après seulement deux ans sous la bannière Steamatic, notre entreprise croît à une vitesse incroyable.»

Le meilleur des deux mondes
Lorsque Éric Filiatrault a eu la piqûre pour ouvrir son propre bureau d’après-sinistre, le modèle de franchises est apparu comme l’option la plus prometteuse.
«Je sortais du domaine de l’assurance comme estimateur en dommage aux bâtiments chez Intact et je savais pertinemment que comme bureau indépendant, il est très difficile d’obtenir des contrats auprès des assureurs. En revanche, ils seront beaucoup plus enclins à conclure des ententes avec une bannière qui regroupe 30 ou 40 bureaux.»
Pour l’expert en sinistre, devenir franchisé c’était bénéficier de la force du nombre: «Plus on voit les camions à notre effigie, plus on entend parler de nos services et plus les retombées positives se font sentir. Et comme la bannière Steamatic existe depuis 50 ans, les gens ont confiance en la marque. Ce qui est non négligeable dans un secteur comme le nôtre où la clientèle vit des moments stressants.»
La fiabilité, la qualité et l’uniformité des services sont les attributs qui font passer les bannières au niveau supérieur, soutient M. Filiatrault. «Il y a certaines entreprises où c’est chacun pour soi. Or, cette cohérence nous rend plus forts et meilleurs, qu’on soit à Vaudreuil-Dorion ou à Gatineau. Ce sont ces bannières qui ont une vision forte et commune qui sauront se démarquer au fil des années.»
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LA PLUS FORTE, C’EST MA FRANCHISEUSE
2019-03-08
MÉLISSA PROULX
3 minutes

Avant de devenir franchisé avec sa conjointe CARINE LEROUX, ÉRIC FILIATRAULT avait touché à un peu tous les domaines de l’après-sinistre et des assurances. Son saut en entrepreneuriat s’est fondé sur le lien de confiance que le couple avait établi avec la franchiseuse NANCY RAYMOND.
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