
Mélissa Proulx est une journaliste, chroniqueuse et rédactrice. Elle se consacre avec passion et créativité à l’élaboration de contenus journalistiques riches et variés depuis 2002.
Bachelière en lettres françaises de l’Université d’Ottawa et diplômée en journalisme, Mélissa Proulx avait 21 ans lorsqu’on lui a confié les rênes de l’hebdomadaire culturel Voir Gatineau-Ottawa, une édition régionale qu’elle a dirigé pendant huit ans. Sa route l’a ensuite ramenée vers sa région où elle a été chef de la section Art de vivre du Voir Montréal puis comme rédactrice en chef adjointe du magazine Enfants Québec.
MÉLISSA PROULX
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Le modèle coopératif a plusieurs attraits, dont celui de permettre à des travailleurs de reprendre l’entreprise qui les emploie. Voici la petite histoire de Promo Plastik, une coopérative de travailleuses de Saint-Jean-Port-Joli connu pour être le fournisseur de l’effigie du Bonhomme Carnaval depuis sa première édition.
Ces dernières années, Promo Plastik s’est concentré sur l’impression sur produits promotionnels variés (en bois, métal ou plastique). L’effigie du Bonhomme Carnaval, les macarons lumineux du Festival d’été de Québec, les bâtons de hockey, la petite coop a fait son chemin dans le monde événementiel et promotionnel. En 2015, elle a racheté Payge International, son principal compétiteur établi à Montréal. Qui a dit qu’une coopérative ne pouvait pas être compétitive? «Chaque membre travailleur voit l’importance de bien effectuer son travail, atteste Mme Marier. Lorsque le contrat l’exige, nous sommes prêts à faire les heures qu’il faut, à ajouter un quart de travail, à entrer le soir ou le week-end. La coop, c’est notre entreprise. Tout le monde est gagnant.»

Ces dernières années, Promo Plastik s’est concentré sur l’impression sur produits promotionnels variés (en bois, métal ou plastique). L’effigie du Bonhomme Carnaval, les macarons lumineux du Festival d’été de Québec, les bâtons de hockey, la petite coop a fait son chemin dans le monde événementiel et promotionnel. En 2015, elle a racheté Payge International, son principal compétiteur établi à Montréal. Qui a dit qu’une coopérative ne pouvait pas être compétitive? «Chaque membre travailleur voit l’importance de bien effectuer son travail, atteste Mme Marier. Lorsque le contrat l’exige, nous sommes prêts à faire les heures qu’il faut, à ajouter un quart de travail, à entrer le soir ou le week-end. La coop, c’est notre entreprise. Tout le monde est gagnant.»

Solidarité et reconnaissance
Lorsque l’entreprise enregistre des surplus à la fin de l’année, les membres décident de les redistribuer en rétributions ou bonis ou de le réinvestir dans l’amélioration continue de la qualité de vie au travail. Installation d’une thermopompe pour recycler l’air toutes les heures, chaises personnalisées et adaptées à chaque travailleur avec l’aide d’un ergothérapeute, le bien-être de tous est une priorité.
Elles sont 13 femmes pour 3 hommes. «On ne se définit pas par notre titre ou notre département, convient Mme Marier. Tous ont leur importance et sont reconnus. La solidarité est une de nos valeurs fondamentales.»
«Ce n’est pas toujours facile de s’entendre toutes et tous, poursuit-elle. L’assemblée générale est l’instance suprême où l’on prend des décisions collectivement. Tous les membres ont droit à un vote. Une fois que les décisions sont prises, les gens y adhèrent, car elles ont été prises ensemble. Cela nous permet beaucoup de flexibilité et d’agilité dans nos façons de faire.»
La coop, une voie pour le repreneuriat
2020-09-18
MÉLISSA PROULX
3 minutes

Le modèle coopératif a plusieurs attraits, dont celui de permettre à des travailleurs de reprendre l’entreprise qui les emploie. Voici la petite histoire de Promo Plastik, une coopérative de travailleuses de Saint-Jean-Port-Joli connu pour être le fournisseur de l’effigie du Bonhomme Carnaval depuis sa première édition.
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