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Henkel Média est une plateforme numérique dédiée à inspirer la communauté d’affaires et à offrir des solutions aux défis actuels. Nous mettons en lumière des acteurs clés du milieu des affaires en racontant leurs histoires et en faisant rayonner leur savoir-faire. Engagés à promouvoir des pratiques plus humaines, responsables et inclusives, nous soutenons ceux qui osent faire une différence et aspirons à laisser une empreinte positive sur l'ensemble de l'écosystème professionnel.

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63 marques de vêtement québécoises s'unissent


À l’initiative de la Grappe métropolitaine de la mode, une soixantaine de marques québécoises ont fait front commun au début 2021 afin de donner un coup de fouet aux ventes en ligne.

Henkel média a discuté avec Jackie Tardif, présidente de Reitmans, qui explique comment des concurrents naturels se sont unis face à une conjoncture économique difficile accentuée par une crise sanitaire historique.

« L’industrie de la mode québécoise est en crise, rappelle Jackie Tardif. Même si nous sommes des concurrents, nous avons choisi de nous unir devant l’adversité, car nous avons la conviction qu’ensemble, nous sommes plus forts. »

Cette mobilisation a pris la forme d’une campagne de livraison gratuite offerte par 63 marques québécoises participantes. Lisez l’article complet ici.



Isabèle Chevalier : vendre son entreprise en pleine pandémie


La femme d’affaires Isabèle Chevalier est passée par toute la gamme d’émotions en 2020.

Jonglant avec une entreprise en pleine expansion, le développement d’une plateforme d’achat local et la vie de famille, elle a procédé à une étape importante dans sa vie d’entrepreneure : vendre la société qui l’a vu grandir.

« Nous étions dans les démarches pour trouver des partenaires mondiaux afin de poursuivre notre déploiement à l’international, raconte-t-elle. Chemin faisant, il nous est apparu que la meilleure décision stratégique, tant pour l’entreprise que pour la famille, était de vendre pour que l’entreprise atteigne son plein potentiel.  »

Henkel média s’est entretenu avec Mme Chavalier en mars 2021.




Avoir la vingtaine et racheter Capitaine homard | Deux amis vivent le rêve à Sainte-Flavie

Le repreneuriat peut s’avérer un processus complexe et long, mais il peut se révéler simple et rapide. C’est le cas pour l’entreprise Capitaine Homard, une entreprise du Bas-Saint-Laurent rachetée par deux jeunes amis dans la vingtaine.

Laurence Marquis et Nicolas Horth, de Rimouski, ont acheté Capitaine Homard, avec ses viviers, ses fumoirs, sa poissonnerie, son restaurant, sa boutique, son camping et sa poignée de chalets léchés par les vagues. Cette entreprise a été dirigée par Alain Bellavance durant près de 20 ans.

« Nic et moi, on faisait partie de la même gang d’amis à Rimouski. Quand est venu le temps d’aller à l’université, on s’est retrouvés à Montréal. C’est là qu’on a appris à se connaître. »

Découvrez leur histoire ici.



Devenir une meilleure gestionnaire grâce à la formation continue

Devenue maman d’un petit garçon à besoins particuliers à 21 ans, Geneviève Richard avait fait une croix sur la poursuite de ses études. Du moins, jusqu’à ce que l’occasion de revenir sur les bancs d’école se soit présentée en 2014 à travers la formule hybride à temps partiel des programmes crédités en gestion de la Formation continue de l’Université Laval.

Elle a ensuite commencé sa carrière avec une attestation d’études collégiales en communication avec les médias. Elle a gravi les échelons dans les entreprises qui l’ont employée jusqu’à devenir coordonnatrice du centre d’admission et de contact client au Réseau de transport de la Capitale.

« J’ai hâte d’être la petite fierté de la famille, de traîner mes enfants, ma mère et mon père à ma remise de diplôme. Leur montrer qu’il n’y a pas d’âge pour continuer à se former et pour assouvir ce sentiment d’accomplissement personnel et professionnel. Ça m’aura pris plus de temps, mais j’y suis arrivée. »

Cette femme débrouillarde a partagé son expérience avec Henkel média.



Arrêtons de vendre du bonheur

Jenny Ouellette, fondatrice de BonBoss a traité dans une chronique du bonheur au travail. Est-ce une mode ? Le boulot doit-il vraiment nous rendre heureux ?

« Trop souvent, je constate que des organisations perçoivent le bonheur des employés comme une simple tâche à réaliser. Chaque fois, quelque chose sonne faux à mes oreilles. Il faut arrêter de vendre et d’imposer le bonheur au travail, parce que ce n’est pas ainsi que nous rendrons les gens heureux. »

Il semble que 90 % des employés s’attendent à ressentir de la joie au travail. Or, seuls 37 % d’entre eux y parviennent, selon le sondage de Siegel + Gale. Alors, si le bonheur est important pour les employés et les entreprises, pourquoi n’est-il pas plus présent? Et si la meilleure façon d’être heureux était d’oublier le bonheur au travail ? Voici sa chronique complète.


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2021-12-21

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